A la Une

Ces régions qui poussent l'hydrogène

(Paris, le 28 juillet 2020)

Alors que le gouvernement réfléchit à un plan, dans la lignée de ceux qu’ont annoncés l’Allemagne et plus récemment l’Europe, les régions enclenchent déjà sur le terrain les leviers permettant d’élaborer une infrastructure et de démarrer un marché de la mobilité.

Renault va-t-il rejoindre l'Airbus des batteries?

(Paris, le 9 juillet 2020)

Lors de la dernière assemblée générale, qui a eu lieu le 19 juin à huis clos, le patron de Renault, Jean-Dominique Senard, a réaffirmé que « Renault est favorable » à cette fameuse coalition européenne dans les batteries. Elle « est intéressante », d’après lui.

Mais, il a souligné aussi qu’il faut « multiplier les sources d’approvisionnement de batteries pour être performant ». Rappelons que le losange collabore avec LG Chem, un fabricant coréen qui lui fournit une batterie capable d’assurer 400 km d’autonomie sur la ZOE.

Hybrides rechargeables, la bonne techno du moment ?

(Paris, le 10 juillet 2020)

Depuis le début de l'année, les hybrides rechargeables sont les grandes gagnantes du marché automobile en entreprise. Ce segment affiche en effet les plus fortes progressions en termes d'immatriculations, toutes énergies confondues.

Au premier semestre, les immatriculations de VP et de VUL hybrides rechargeables ont en effet augmenté (ou plutôt, bondi) de + 122,89 % à 8 597 unités, avec une part de marché encore modeste de 2,83 %, mas qui ne devrait pas manquer d'évoluer à la hausse dans les prochains mois.

Vers un nouveau format pour les essais auto

(Paris, le 9 juillet 2020)

Pas de salon de Genève (et il n’y en aura pas en 2021) et pas de Mondial de l’Auto à Paris cette année…

A priori, c’était mal parti pour les constructeurs, même si des présentations virtuelles ont eu lieu et que les médias évoquent l'actualité au fil de l'eau. Simplement, rien ne remplace le contact et l’expérience de conduite.

Covid-19: le plan de relance de l'automobile

 

(Paris, le 18 juin 2020)

La crise de la Covid-19 a frappé de nombreux secteurs économiques, mais sans doute plus particulièrement l’automobile et le tourisme. Pour soutenir la filière automobile, qui emploie plus de 400 000 employés dans l’Hexagone, le président Macron n'a pas hésité à mettre sur la table quelque 8 milliards d’euros pour venir au secours des constructeurs. Objectifs affichés: écouler les 500 000 véhicules neufs et d’occasion qui n'avaient plus aucun client depuis la mi-mars, tout en accélérant la transition énergétique.