(Paris, le 25 janvier 2016)
Renault n’a pas triché, mais il a fait le minimum syndical pour aborder la norme Euro 6. Le choix technique du constructeur a été d’opter pour le piège à NOx (oxydes d'azote), l’une des deux technologies disponibles sur le marché.
C’est la moins chère, mais pas la plus efficace, car son utilisation est soumise à des contraintes (notamment de températures).