Face à la transformation du marché automobile, l’étiquetage CO2 des voitures particulières, rendu obligatoire en 2003, semble avoir perdu tout son sens. C’est la réflexion menée par le Secrétariat général à la planification écologique selon qui, 90 % des immatriculations de véhicules neufs se font aujourd’hui sous une couleur verte, assimilable par l'acheteur à des modèles à faibles ou très faibles émissions. Un constat qui pousse le SGPE à proposé une réforme complète du barème de couleurs en vigueur afin de mieux informer et orienter les conducteurs.