Arval Mobility Observatory Newsroom

Quand les pouvoirs publics se fixent des objectifs ambitieux en matière de réduction des accidents de la route, la première tentation est de prendre de nouvelles mesures et de renforcer l’arsenal judiciaire. Mais, il existe d’autres voies de progrès. L’une d’elles consiste à faire confiance à la technologie.

Espoir ou désillusion, optimisme ou déprime, l'image du verre à moitié plein ou à moitié vide n'a jamais été autant d'actualité. La reprise est là, nous dit-on ; ah bon, mais où ?

Le génial fondateur de l’iPod et de l’iPhone, à qui l’on doit aujourd’hui tant d’applications, qui sont autant de services connectés dans le véhicule, n’a pas eu le temps de réaliser son ultime vision : l’iCar.

Il se vend chaque année en France, sur le marché du remplacement (c’est-à-dire sans les pneus d’origine montés sur les véhicules neufs), près de 30 millions de pneus tourisme et 2 millions de pneus poids lourds, agraires et génie civil/TP, pour un chiffre d’affaires total avoisinant 5 milliards d’euros. Miroir de la mobilité, baromètre de notre économie, le secteur du pneumatique fait face à plusieurs défis parmi lesquels l’augmentation du prix des matières premières, le développement d’une nouvelle concurrence, et la difficulté de répondre correctement à la demande d’une clientèle toujours mieux avertie.

Les critères de définition de l’automobile ont profondément évolué aux cours de la décade passée, cette tendance s’est accélérée lors des cinq dernières années, nous nous éloignons de l’époque où les constructeurs forgeaient leur développement en lançant des SUV énergivores et autres berlines sur-motorisées. L’heure est à la frugalité. Sous l’impulsion de facteurs externes, chocs pétroliers permanents, mesures de limitation des émissions de CO2 et autres polluants, une tendance planétaire s’est dégagée : l’industrie automobile, dans son ensemble, se tourne vers le développement de solutions vertueuses, économes en carburant, faiblement émissives en gaz polluants, silencieuses, tout en conservant de hauts niveaux de prestations et performances.

Les entreprises, administrations, associations ont besoin de mobilité et des transports qui vont avec. Ce besoin augmente régulièrement. Transports « professionnels » qui incluent tous les déplacements effectués dans le cadre de son emploi. Transports dits « pendulaires » des salariés qui effectuent le trajet entre leur domicile et leur lieu de travail. Transports des visiteurs qui rejoignent un site (fournisseurs, clients, partenaires, public). Transports enfin des marchandises que l’entreprise produit, utilise ou vend. Ces transports, pourtant vitaux, sont aujourd’hui mis en cause. Tous modes confondus, ils constituent la première source d’émission de dioxyde de carbone (CO2) en France avec 33 % des émissions totales du pays en 2008. Le CO2 est l’un des principaux gaz à effet de serre qui serait responsable du changement climatique mondial.

Les sociétés d’Europe, d’Amérique et d’Extrême-Orient se sont développées au cours du XXe siècle sur la base d’un large accès à la mobilité des personnes et des biens. L’automobile, le moteur à combustion interne et les énergies issues du pétrole, par leurs performances techniques et leur accessibilité économique toujours en progrès, ont répondu à la demande des sociétés.

Il était temps… Après tant d’annonces et une médiatisation savamment entretenue, 2010 marque vraiment le début de l’ère moderne de la voiture électrique. C’est en effet dans le courant de l’année que plusieurs constructeurs, et non des moindres (Nissan, Mitsubishi, Peugeot, Citroën), doivent lancer en Europe leurs modèles. Un peu partout dans le monde, une course de fond s’est engagée pour organiser l’écosystème de la voiture électrique. Cela passe par des tests sur des flottes (indispensables pour évaluer les autos, les batteries et les bornes de recharge, ainsi que l’intérêt du public) et la mise en place d’une infrastructure de recharge.

L’assurance est une composante importante du coût de détention des flottes automobiles, le fameux TCO (Total Cost of Ownership). Or l’assurance, parce qu’elle évoque des aspects techniques difficiles voire ennuyeux, a souvent été négligée par les entreprises, qui préférent s’en remettre à leurs partenaires habituels dans le domaine. Ne pas s’intéresser de près au poste assurance dans son entreprise est une négligence qui peut coûter cher : il ne faut pas regarder que la prime payée chaque année, il faut aussi regarder les services proposés et tout le processus de dépannage, de prise en charge, de réparation.