Vu de Paris, le Diesel est déjà mort. Ce n’est pas l’opinion des constructeurs allemands qui s’y accrochent, malgré les risques de restriction de circulation et les dégâts provoqués par le Dieselgate.
A ce titre, le salon de Francfort restera probablement dans les annales. Il a débuté dans un climat un peu étrange, avec des militants de Greenpeace appelant à la fin de l’âge du pétrole, et des politiques critiquant l’industrie automobile allemande pour ses pratiques de cartel et pour le dépassement des normes de NOx, sur fond de Dieselgate.